Mai 2015: Escapade diagonale, Grenoble-Jura-Versailles-Giverny-Bourges-Grenoble

 

Diagonale 2015

Un voyage à travers quelques régions de notre belle France avec comme objectif Giverny.  Nous avions déjà visité les Jardins de Claude Monet vers la fin de l’été, y retourner en mai doit permettre de voir d’autres fleurs et en particulier les glycines du pont japonais souvent représentées sur les toiles du Maitre des lieux. Voilà, il n’en faut pas plus pour donner un but de voyage d’une semaine.
Aujourd’hui dimanche 24 mai, j’ai toute la journée pour préparer le CC car Monique est prise jusqu’à 19H. L’étape du jour sera très courte avec un départ à 19H30, nous irons jusqu’au lac d’Aiguebelette en Savoie situé  à seulement 50 km de la maison. Nous arriverons à 20H30 sur le parking du ‘Port d’Aiguebelette’  qui jouxte une vaste aire de picnic et les bords du lac. Quelques CC sont déjà installés, l’endroit est très calme et après le repas nous avons encore le temps d’aller flâner au bord du lac pour admirer les dernières lueurs du jour.
(GPS nuit 45°32’41″ / 5°48’50″)

Lundi 25 mai. Nuit paisible, après le petit déjeuner nous irons faire une courte promenade aux alentours. Le lac d’Aiguebelette est privé et il est quasiment impossible d’approcher les berges sauf au niveau des nombreux campings aménagés ou les quelques rares accès publics comme celui où nous sommes. Départ à 9H50, direction vers le nord en évitant les grands axes. Par la D921 nous rejoignons Yenne sur les bords du Rhône puis Chanaz qui mérite un arrêt, le village est très fleuri et profite un maximum de sa situation au bord du Rhône et du canal de Savières, c’est une cité lacustre très coquette dénommée à juste titre la petite Venise savoyarde, une aire de service en bordure du Rhône est disponible.

Nous franchissons le Rhône au niveau de Culoz pour poursuivre plein Nord dans l’Ain par la D992 jusqu’à Seyssel. Un village mais deux communes, une dans l’Ain, l’autre en Hte Savoie séparées par le Rhône. La fusion des deux communes est un vrai serpent de mer tout le monde semble d’accord et pourtant ça coince. Nous restons dans l’Ain sur la D991 nous passons à proximité de Génissiat connu pour son barrage hydroélectrique. Nous quittons la D991 à Chatillon-en-Michaille pour prendre la vallée de La Sémine jusqu’à Plagne où se trouve un  site exceptionnel de traces de dinosaures. Nous avions eu la chance de le visiter en 2012 en compagnie du découvreur mais il est actuellement interdit pour cause de préservation en attente de financement d’un accueil aménagé.

Ouf! Ils sont passés il y a 65 millions d'années...

Ouf! Ils sont passés il y a 65 millions d’années…

Vue depuis les bords de la Bienne

(La photo date de 2012, actuellement le site a été recouvert d’un film protecteur et de terre).
Nous empruntons une petite route de montagne qui nous amène à St Claude. Capitale de la pipe et de la taille des diamants, la ville est construite sur les flancs très encaissés de la vallée de la Bienne. Nous prendrons notre repas sur un parking sans charme mais avec un joli point de vue sur des maisons accrochées à la pente et au pied d’un grand pont impressionnant enjambant la rivière. Nous avons parcouru 125km depuis Aiguebelle. Nous sommes dans le Jura, pays des cluses, des lacs et des cascades. Les cluses sont des vallées étroites très encaissées perpendiculaires aux combes formées lors du plissement du Jura, creusées par les cours d’eau elles permettent une communication aisée  entre deux combes. En poursuivant notre route, nous ferons un arrêt pour aller admirer les cascades du Hérisson. Sept cascades s’échelonnent sur 3,5 km et s’admirent par un parcours aménagé. La première, la cascade du Grand saut (pt GPS 46°36’59″/5°52’20″) et la dernière, la cascade de l’Eventail (pt GPS 46°36’53″/5°50’50″) sont les plus spectaculaires.

Les sites touristiques sont légion dans la région, Baume-les-Messieux classé parmi les « Plus beaux villages de France », la source du Lison, les sources de La Loue, Poligny capitale du Comté… Difficile de tout faire en si peu de temps, Il faut poursuivre au plus direct, Champagnole puis Salins les Bains, gardé par deux vieux forts au fond d’une grande ″reculée″, que nous atteignons vers 18H30 , ce sera le terme de notre voyage de la journée, nous avons parcouru 245km. Nous ne stationnons pas sur l’aire prévue pour les camping-cars mais sur un parking à coté du musée du sel qui est plus en retrait de la rue principale, donc plus calme. A cette période de l’année aucun problème de stationnement. Petite balade à pieds sur les hauteurs  en empruntant le chemin qui monte à l’un des châteaux afin d’admirer la ville en prenant un peu de hauteur. Nuit très calme.

(GPS nuit 46°56’13″ / 5°23’35″)

Mardi 26 mai. Au programme aujourd’hui, l’histoire du sel depuis le moyen âge jusqu’à nos jours. La visite guidée de la saline démarre à 10H, pas besoin de se presser, nous sommes à deux pas de l’entrée. Visite très intéressante, l’exploitation date du moyen âge, le sel était considéré comme de l’or blanc, c’était le seul moyen pour conserver les aliments, se soigner, faire du thermalisme. Une richesse sous la coupe royale qu’il fallait exploiter et faire payer très cher par l’impôt impopulaire de la gabelle. Les installations classées à l’UNESCO étaient entourées de hauts murs dont seule une porte monumentale reste visible aujourd’hui. Salins les Bains, n’est pas une mine traditionnelle, l’obtention du sel se fait à partir des eaux souterraines, qui se chargent en sel au contact des couches de sel gemme. La technique de récupération est celle du sel ignigène  (évaporation  de l’eau de la saumure par le feu), au début de l’exploitation, les techniques étaient très rudimentaires, à peine 35gr de sel par litre étaient obtenus, à la fin de l’exploitation c’était  330gr de sel. Il fallait pomper l’eau salée de plus en plus profondément et la chauffer dans de grandes poêles pour évaporer l’eau.

Le musée du sel installé dans les anciens bâtiments industriels où été installées les poêles. Le pompage de l'eau salée se faisait en sous sol dans d’immenses salles voutées.

Le musée du sel occupe les anciens bâtiments industriels où étaient installés les poêles. Le pompage de l’eau salée se faisait en sous sol depuis d’immenses salles voûtées.

Avant la mécanisation des pompes, c’était des chevaux qui en tournant en rond actionnaient une noria de godets plongeant dans un puits jusqu’à la nappe phréatique salée. Le premier combustible utilisé pour évaporer l’eau était le bois trouvé autour de Salins, à sa raréfaction la cuisson s’est déplacée à 21 km plus au nord à Arc et Sénans en bordure de la grande forêt de Chaux. Le transport de l’eau salée s’effectuait par un saumoduc en bois, il était constitué d’une succession de tronc de sapins creusés dans leurs parties centrales pour en faire des tuyaux emboîtés les uns dans les autres. C’était le maillon faible du système qui a condamné les Salines Royales d’ Arc-et-Sénans, de plus le charbon, nouveau combustible plus facile à transporter par l’avénement du train remplaça progressivement le bois de chauffe. Il y a donc eu un retour de la production à Salins-les-Bains. L’exploitation s’est achevée en 1962 victime de son coût d’exploitation par rapport aux mines de sel gemme de Lorraine ou des marais salants du bord de mer. La visite sur place a duré 2H et à midi, nous prenons la route des Salines Royales d’Arc-et-Sénans pour la compléter.

(Photo récupéré sur internet)

(Photo récupérée sur internet)

La construction des Salines Royales d’Arc-et-Sénans sur ordre de Louis XV date de 1779 et son exploitation a duré jusqu’en 1895. L’architecture est surprenante, nous avons affaire à une usine, mais l’architecte Claude Nicolas Ledoux l’a conçue comme un ensemble intégré pour une vie en commun de l’ensemble du personnel et des différents corps de métiers nécessaires au fonctionnement de la Saline. De forme semi circulaire, l’ensemble est très fonctionnel mais aussi symbolique, tous les bâtiments sont indépendants. On trouve la maison du directeur en position centrale afin de surveiller le complexe, le bâtiment des poêles, l’atelier de fabrication des tonneaux, les magasins de stockage, divers ateliers, les écuries, les logements du personnel s’articulent autour. Le travail des ouvriers était très dur, logés sur place avec leurs familles, ils avaient droit à de petits jardins potagers situés à l’arrière des bâtiments pour se détendre et subvenir à leur alimentation. Le site est également inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Dans l’après midi, nous rejoignons Dôle pour notre étape nocturne après un parcours de 46km. Le parking habituellement réservé aux CC est encore occupé par les installations d’une fête foraine heureusement terminée et nous avons le droit de nous garer de l’autre coté de la route sur un beau parking le long du port sur le Doubs et du canal du Rhône au Rhin. Nous faisons face à la collégiale Notre Dame, le point de vue est splendide.

Magnifique emplacement face à la Collégiale et en bordure du port de Dôle.

Magnifique emplacement face à la Collégiale et en bordure du port de Dôle.

Nous partons à pieds à la découverte de la ville, petit passage par l’office du tourisme puis nous arpentons le circuit pédestre du « Chat perché » qui est une belle balade reliant les sites remarquables de cette très belle ville. Nous passons devant la collégiale, la maison natale de Pasteur transformée en musée, quelques beaux bâtiments publics, des rues piétonnes animées. La soirée sera très calme, on complétera la visite par une promenade le long du canal qui relit le Rhône au Rhin.

(GPS nuit 47°5’32″ / 5°29’53″)

Mercredi 27 mai. Départ à 9H30 à destination de Versailles, la route est longue surtout si l’on veut éviter les grands axes mais nous n’avons rendez-vous avec notre fils que vers 18H30/19H. En passant au nord de Dijon, une très belle route nous permet de traverser de belles forêts comme celle de Chatillon. A midi nous mangeons à la sortie de Bar/Seine en bordure de Seine qui à ce niveau n’est qu’une paisible rivière.

Nous contournons Troyes par le sud, direction Fontainebleau pour arriver à Versailles par le grand sud de Paris, un grand merci au GPS. Notre fils, qui passe une semaine à Versailles à l’occasion du mariage d’un copain, a loué une roulotte dans le camping d’Utoppia de Versailles, formule très originale dans un camping très nature. Nous avions le choix de profiter du camping mais nous nous sommes aperçu que sur l’avenue de Paris qui conduit au Château, quelques CC sont garés le long de l’avenue. Nous trouvons facilement une place à moins d’un km du château et à quelques centaines de mètres du camping Utoppia.

Le soir, nous irons manger dans un restaurant Japonais, puis nous donnons rendez-vous à notre fils à 8H devant l’entrée du camping pour aller à Giverny. A notre grand étonnement à partir de 23H pratiquement plus de circulation ce qui nous permettra de passer une nuit relativement calme.
(Etape du jour 398km, GPS nuit 48°47’54″ / 2°9’3″)

Jeudi 28 mai. Giverny n’est pas très loin de Versailles, 65km avec l’autoroute A14  gratuite, les Jardins de Monet ouvrent à 9H30. Le parking où nous nous garons est très spacieux, beaucoup de verdure et de fleurs, nous y avions dormi lors de notre première visite (pt GPS 49°4’23″/1°31’47″), halte très recommandable. Nous avons le temps de prendre un sympathique petit déjeuner dans le CC avec café croissants et vue sur la campagne. A 10H la file d’attente à l’entrée n’est pas encore très importante et nous pourrons ainsi prendre notre temps pour la visite des jardins. Nous espérions voir les glycines sur le pont Japonais, mais nous sommes déjà un peu en tard pour leur pleine floraison, elles sont déjà bien passées. C’est toujours un délice de flâner le long des allées dans les pas de Claude Monet, le long de son étang couvert de nénuphars. Sa maison et ses ateliers sont également accessibles ce qui crée une atmosphère particulière. Nous entrons et nous sortons des lieux par le grand atelier où il a peint les Nymphéas exposées au musée de l’Orangerie des Tuileries. Cet atelier est occupé par la librairie proposant de nombreux articles souvenirs, inutile de dire qu’il y a beaucoup d’animation dans ce lieu où les affaires marchent très bien.

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Le Café Botanic

Nous prendrons notre repas de midi au Café Botanic qui est un véritable jardin avec plein de petits îlots fleuris où sont installées les tables. Le cadre est magnifique. En début d’après midi nous prenons la route du retour car notre fils a un rendez-vous vers 19H dans Paris. Nous rentrons en suivant les boucles de la Seine jalonnées de jolies villages, La Roche Guyon avec son château et donjon médiéval, Haute Isle et son église troglodyte, Vétheuil et son église aux toits à motifs polychromes, par-ci par-là, quelques cavités parfois habitables creusées dans la craie de la falaise.   Nous sommes relativement tôt à Versailles et nous passerons la fin de l’après midi à se promener dans les Jardins du Château que nous atteignons facilement avec le CC par une entrée Est où il est possible de se garer (GPS parking 48°49’12″/2°6’55″). L’exposition d’Art contemporain d’Anish Kapoor est en pleine installation et commence déjà à faire beaucoup parler, il faut dire qu’elle est assez décoiffante en ces lieux.

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Versailles

Pour passer la nuit nous irons jusqu’à Rambouillet et nous dormirons sur un grand parking en bordure du parc du château et à deux pas du centre ville. Notre emplacement n’est pas fun mais très pratique. Aujourd’hui nous avons parcouru 217km (GPS nuit 48°38’ 29″/1°49’23″)

Vendredi 29 mai. Pendant que nous prenons notre petit déjeuné, le parking qui était vide hier soir se rempli rapidement. Les Rambolitains laissent leurs voitures pour prendre les transports en commun, nous sommes à 30mn de la gare Montparnasse par le train. Nous passons une partie de la matinée à visiter le parc du château, il est très vaste avec de belles pièces d’eau.

Un  lycée est juste à coté du parc et les étudiants profitent des belles pelouses ce qui est fort sympathique. On se croirait sur un campus américain. Les rues de la ville aux abords du Château sont aussi très belles et animées à cette heure de la journée. Nous reprenons la route vers 11H par la D29 en traversant la forêt de Rambouillet qui fait partie du parc régional de la haute vallée de Chevreuse. Au cœur de cette forêt, nous passons par hasard par Clairefontaine qui abrite le centre d’entrainement des footballeurs de l’équipe de France. Elles sont quand même bien chouchoutées ces stars du ballon rond car le coin est superbe.  Puis ce sera Dourdan, Etampes et Phitiviers où nous prendrons notre repas de midi. Aujourd’hui, nous traversons les belles forêts françaises, par la D921 nous pénétrons au cœur de la forêt d’Orléans. Nous atteignons la Loire à Jargeau et nous ferons une petite pose à Sully-sur-Loire, magnifique château entouré d’un large fossé rempli d’eau.

Nous en profitons pour faire les services sur l’aire des CC située à quelques centaines de mètres (pt GPS 47°46’15″/2°23’2″). L’aire est remarquable mais victime de son succès, j’ai l’impression que certains CC prennent cette aire pour un camping en s’installant semble-t-il dans la durée très confortablement. Je pense qu’en cas de saturation, il y a moyen de passer la nuit sur le parking, libre d’accès,  en bordure du château et de la Loire (pt GPS 47°46’6″/2°22’30″). Depuis Sully, nous piquons plein sud en direction de Bourges par la D946 et D79 qui traversent de magnifiques forêts et de grands espaces céréaliers complètements plats, cela nous change beaucoup de nos montagnes et nous trouvons ces paysages très reposants. Nous arrivons à Bourges vers 17H, nous allons directement sur l’aire camping-cars située à deux pas du centre historique.  Avant la fermeture de l’office du tourisme, nous passons prendre des renseignements et ce soir vendredi à la tombée de la nuit a lieu un agréable son et lumières, parcours-spectacle à travers la ville médiévale dénommé ″Les Nuits Lumières de Bourges″. Nous flânerons au gré des illuminations, Le Jardin de l’Archevêché, la Cathédrale St Etienne, l’Hôtel Lallemant, la Rue Mirebeau, le Couvent des Augustins, l’Hôtel des Echevins, le Palais Jacques Cœur.

Aujourd’hui nous avons parcouru 230km (GPS nuit 47°4’33″/2°23’57″).

Samedi 30 mai. Petite promenade dans les vieilles rues de Bourges pour admirer les belles maisons à colombages qui sont ici appelées maisons en pans de bois, elles datent principalement du XVème siècle, puis nous irons voir les Marais, c’est une zone très caractéristique où rivières et canaux délimitent un ensemble de petits jardins dont une grande majorité n’est accessible qu’en barque. Les Béruviers cultivent leurs potagers sur de petites îles bien agréables. Le Jardin des Pré-Fichaux de style art-déco a un charme très particulier avec ses végétaux taillés selon des formes géométriques, ses basins, ses fontaines et ses sculptures.

Nous terminerons notre passage à Bourges par une visite plus approfondie de la très belle cathédrale gothique, une des plus grandes de France. A 16H30 nous quittons la ville et prenons des petites routes très calmes qui nous permettent de traverser les Bois de Meillant puis la forêt de Tronçais. Nous irons passer la nuit sur l’aire CC de St Pourçain-sur-Sioule.  Très belle aire le long de la rivière Sioule, mais il faut probablement arriver très tôt pour être en bordure de son lit, toutes les places sont assez spacieuses et agréables.
Parcours du jour 113km (GPS nuit 46°18’43″/3°17’47″).

Dimanche 31 mai. Dernière journée de notre périple, nous quittons St Pourçain à 10H direction Vichy qui se trouve à moins de 30km, une grosse demi-heure pour y arriver.

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Le long de la base nautique

Il est dimanche ce qui facilite la recherche d’un parking, peu de circulation, les zones de stationnement sont nombreuses. Nous trouverons un emplacement de premier choix sur les bords de l’Allié exactement au niveau de l’immense plan d’eau dédié aux courses d’aviron où se déroule de nombreuse épreuves internationales. (Pt GPS 46°7’42″/3°24’57″). La barrière d’accès aux quais est également ouverte et le parking en libre accès ce qui ne doit pas être le cas en semaine. Avant le repas de midi, nous avons le temps d’aller flâner dans le centre ville tout proche et autour des thermes, comme tous les touristes nous irons boire à la source Célestins et tout connaître sur le parcours souterrain de cette eau qui a fait la richesse de la ville. Quelques achats dont les fameuses pastilles de Vichy dans leur traditionnelle boite métallique. Déjeuner dans notre camping-car en bordure de l’Allier et retour dans l’après midi sur Grenoble en passant par Lyon. Nous sommes chez nous vers 18H avec l’agréable surprise d’y trouver notre petite fille de 2,5 mois qui nous gratifie de ses premiers sourires. Ses parents ont eu la riche idée de nous faire la surprise en venant nous attendre à la maison sachant que nous devions arriver vers cette heure. Une bien belle semaine avec un temps très correct, des températures agréables qui nous ont permis de parcourir quelques régions françaises très variées suivant une diagonale touristique. Nous avons parcouru 1612km en huit jours. Notre prochain grand voyage devrait être d’un autre calibre, les pays scandinaves prévus pour cet été.

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Une réflexion sur “Mai 2015: Escapade diagonale, Grenoble-Jura-Versailles-Giverny-Bourges-Grenoble

  1. champabreiz

    Un bien joli reportage, très étayé, des régions connues et pour cause vous êtes passés à 500 m de la maison en allant à Fontainebleau (RD619). Le Berry, les jardins de Monet, les bords de Loire etc…De beaux souvenirs rafraîchis par vos photos.
    Merci pour le partage
    Eve (lvsc)

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